joaquim belsa, l’histoire d’un pionnier du design moderne
En 2024, nous avons réédité le Banc 202, un design original de 1961 signé par le designer industriel catalan Joaquim Belsa. Le Banc 202 est le résultat de notre effort constant pour récupérer, protéger et promouvoir notre richesse culturelle. En revisitant des classiques comme ce banc en rotin, nous ne faisons pas seulement ressortir la figure de Joaquim Belsa et lui rendons la reconnaissance qu’il mérite, mais nous réaffirmons également nos racines méditerranéennes, notre histoire et notre longue tradition d’artisanat et de design.
Belsa, maître du rotin courbé
Joaquim Belsa (Barcelone, 1929) a étudié à l’Escola de la Llotja, aujourd’hui École Supérieure d’Art et de Design de Barcelone. Très tôt, il s’intéressa au design et à la production de mobilier. Il débuta sa carrière professionnelle dans l’atelier d’un ébéniste, où il découvrit sa passion pour les matières premières traditionnelles telles que le bois naturel, la canne de Manille et le jonc. Avec ces matériaux, il façonnera ses pièces les plus emblématiques, celles qui attirèrent fortement notre attention.
En 1951, Joaquim fonde l’entreprise Aresta. Son catalogue comprenait des meubles en bois qui reprenaient le flambeau des artistes rationalistes locaux d’avant-guerre. Durant cette période, la production de Belsa reposait sur un concept de design simple : le trait unique. Liée à sa vision du design – fonctionnaliste, avec des caractéristiques méditerranéennes et des références au mobilier populaire – cette idée d’utiliser une seule ligne continue se traduisait aisément dans ses meubles grâce aux matériaux employés, qu’il s’agisse de canne de Manille ou de tube d’acier chromé.
D’une part, l’utilisation du tube de fer courbé reliait Belsa à la génération précédente de designers rationalistes, véritables pionniers de cette technique de construction. D’autre part, sa manière de travailler la canne de Manille – pure, épurée, avec très peu de ligatures – l’associait aux designers et fabricants contemporains, et plus particulièrement à Expormim et à notre propre manière de comprendre et de travailler le rotin. Par sa maîtrise et sa modernité, Belsa s’impose comme l’un des précurseurs du design contemporain en rotin. C’est pourquoi il était de notre devoir et de notre souhait de lui rendre hommage de la meilleure façon que nous connaissons : en redonnant vie à son Banc 202.
original 202 bench detail
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réédition du banc 202
La valeur de l’artisanat : une passion partagée
Ses origines modestes et sa volonté de créer un mobilier digne de la classe ouvrière définissent l’extraordinaire personnalité de Belsa, à mi-chemin entre rationalisme et tradition. De plus, il s’érigea en véritable défenseur du savoir-faire artisanal. Alors que les artisans encore en activité semblaient figés dans le passé, produisant des pièces démodées et éloignées du goût esthétique de l’époque, Belsa sut sauver et moderniser leurs techniques traditionnelles pour fabriquer des meubles en fibres végétales. Grâce à son sens de la modernité, ces pièces ont survécu à leur époque et à leur auteur, pour devenir des classiques intemporels.
La philosophie et les valeurs de Belsa nous touchent profondément, au point que nous avons ressenti la nécessité de rééditer son célèbre Banc 202. Les créations de Belsa soulignent non seulement la valeur de l’artisanat, mais aussi la responsabilité sociale du mobilier et du design. Bien que ses modèles aient rencontré un grand succès auprès de certains secteurs de la bourgeoisie éduquée, son public cible fut toujours la classe ouvrière. La dimension idéologique, souvent évidente dans l’architecture, tend à s’estomper lorsqu’il s’agit de mobilier, mais ce n’était pas le cas pour les créations de Belsa. C’est pourquoi elles ne devraient jamais être jugées insignifiantes, et son nom ne devrait jamais tomber dans l’oubli.
À travers la réédition du Banc 202, Expormim réécrit, dans le langage du rotin, l’histoire de Joaquim Belsa et de son héritage : une histoire d’artisanat, de rotin et de design méditerranéen. Le type d’histoires que nous ne nous lasserons jamais de raconter.
réédition du banc 202
En 2024, nous avons réédité le Banc 202, un design original de 1961 signé par le designer industriel catalan Joaquim Belsa. Le Banc 202 est le résultat de notre effort constant pour récupérer, protéger et promouvoir notre richesse culturelle. En revisitant des classiques comme ce banc en rotin, nous ne faisons pas seulement ressortir la figure de Joaquim Belsa et lui rendons la reconnaissance qu’il mérite, mais nous réaffirmons également nos racines méditerranéennes, notre histoire et notre longue tradition d’artisanat et de design.
Belsa, maître du rotin courbé
Joaquim Belsa (Barcelone, 1929) a étudié à l’Escola de la Llotja, aujourd’hui École Supérieure d’Art et de Design de Barcelone. Très tôt, il s’intéressa au design et à la production de mobilier. Il débuta sa carrière professionnelle dans l’atelier d’un ébéniste, où il découvrit sa passion pour les matières premières traditionnelles telles que le bois naturel, la canne de Manille et le jonc. Avec ces matériaux, il façonnera ses pièces les plus emblématiques, celles qui attirèrent fortement notre attention.
En 1951, Joaquim fonde l’entreprise Aresta. Son catalogue comprenait des meubles en bois qui reprenaient le flambeau des artistes rationalistes locaux d’avant-guerre. Durant cette période, la production de Belsa reposait sur un concept de design simple : le trait unique. Liée à sa vision du design – fonctionnaliste, avec des caractéristiques méditerranéennes et des références au mobilier populaire – cette idée d’utiliser une seule ligne continue se traduisait aisément dans ses meubles grâce aux matériaux employés, qu’il s’agisse de canne de Manille ou de tube d’acier chromé.
D’une part, l’utilisation du tube de fer courbé reliait Belsa à la génération précédente de designers rationalistes, véritables pionniers de cette technique de construction. D’autre part, sa manière de travailler la canne de Manille – pure, épurée, avec très peu de ligatures – l’associait aux designers et fabricants contemporains, et plus particulièrement à Expormim et à notre propre manière de comprendre et de travailler le rotin. Par sa maîtrise et sa modernité, Belsa s’impose comme l’un des précurseurs du design contemporain en rotin. C’est pourquoi il était de notre devoir et de notre souhait de lui rendre hommage de la meilleure façon que nous connaissons : en redonnant vie à son Banc 202.
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En 2024, nous avons réédité le Banc 202, un design original de 1961 signé par le designer industriel catalan Joaquim Belsa. Le Banc 202 est le résultat de notre effort constant pour récupérer, protéger et promouvoir notre richesse culturelle. En revisitant des classiques comme ce banc en rotin, nous ne faisons pas seulement ressortir la figure de Joaquim Belsa et lui rendons la reconnaissance qu’il mérite, mais nous réaffirmons également nos racines méditerranéennes, notre histoire et notre longue tradition d’artisanat et de design.
Belsa, maître du rotin courbé
Joaquim Belsa (Barcelone, 1929) a étudié à l’Escola de la Llotja, aujourd’hui École Supérieure d’Art et de Design de Barcelone. Très tôt, il s’intéressa au design et à la production de mobilier. Il débuta sa carrière professionnelle dans l’atelier d’un ébéniste, où il découvrit sa passion pour les matières premières traditionnelles telles que le bois naturel, la canne de Manille et le jonc. Avec ces matériaux, il façonnera ses pièces les plus emblématiques, celles qui attirèrent fortement notre attention.
En 1951, Joaquim fonde l’entreprise Aresta. Son catalogue comprenait des meubles en bois qui reprenaient le flambeau des artistes rationalistes locaux d’avant-guerre. Durant cette période, la production de Belsa reposait sur un concept de design simple : le trait unique. Liée à sa vision du design – fonctionnaliste, avec des caractéristiques méditerranéennes et des références au mobilier populaire – cette idée d’utiliser une seule ligne continue se traduisait aisément dans ses meubles grâce aux matériaux employés, qu’il s’agisse de canne de Manille ou de tube d’acier chromé.
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réédition du banc 202
La valeur de l’artisanat : une passion partagée
Ses origines modestes et sa volonté de créer un mobilier digne de la classe ouvrière définissent l’extraordinaire personnalité de Belsa, à mi-chemin entre rationalisme et tradition. De plus, il s’érigea en véritable défenseur du savoir-faire artisanal. Alors que les artisans encore en activité semblaient figés dans le passé, produisant des pièces démodées et éloignées du goût esthétique de l’époque, Belsa sut sauver et moderniser leurs techniques traditionnelles pour fabriquer des meubles en fibres végétales. Grâce à son sens de la modernité, ces pièces ont survécu à leur époque et à leur auteur, pour devenir des classiques intemporels.
La philosophie et les valeurs de Belsa nous touchent profondément, au point que nous avons ressenti la nécessité de rééditer son célèbre Banc 202. Les créations de Belsa soulignent non seulement la valeur de l’artisanat, mais aussi la responsabilité sociale du mobilier et du design. Bien que ses modèles aient rencontré un grand succès auprès de certains secteurs de la bourgeoisie éduquée, son public cible fut toujours la classe ouvrière. La dimension idéologique, souvent évidente dans l’architecture, tend à s’estomper lorsqu’il s’agit de mobilier, mais ce n’était pas le cas pour les créations de Belsa. C’est pourquoi elles ne devraient jamais être jugées insignifiantes, et son nom ne devrait jamais tomber dans l’oubli.
joaquim belsa, l’histoire d’un pionnier du design moderne
En 2024, nous avons réédité le Banc 202, un design original de 1961 signé par le designer industriel catalan Joaquim Belsa. Le Banc 202 est le résultat de notre effort constant pour récupérer, protéger et promouvoir notre richesse culturelle. En revisitant des classiques comme ce banc en rotin, nous ne faisons pas seulement ressortir la figure de Joaquim Belsa et lui rendons la reconnaissance qu’il mérite, mais nous réaffirmons également nos racines méditerranéennes, notre histoire et notre longue tradition d’artisanat et de design.
Belsa, maître du rotin courbé
Joaquim Belsa (Barcelone, 1929) a étudié à l’Escola de la Llotja, aujourd’hui École Supérieure d’Art et de Design de Barcelone. Très tôt, il s’intéressa au design et à la production de mobilier. Il débuta sa carrière professionnelle dans l’atelier d’un ébéniste, où il découvrit sa passion pour les matières premières traditionnelles telles que le bois naturel, la canne de Manille et le jonc. Avec ces matériaux, il façonnera ses pièces les plus emblématiques, celles qui attirèrent fortement notre attention.
En 1951, Joaquim fonde l’entreprise Aresta. Son catalogue comprenait des meubles en bois qui reprenaient le flambeau des artistes rationalistes locaux d’avant-guerre. Durant cette période, la production de Belsa reposait sur un concept de design simple : le trait unique. Liée à sa vision du design – fonctionnaliste, avec des caractéristiques méditerranéennes et des références au mobilier populaire – cette idée d’utiliser une seule ligne continue se traduisait aisément dans ses meubles grâce aux matériaux employés, qu’il s’agisse de canne de Manille ou de tube d’acier chromé.
D’une part, l’utilisation du tube de fer courbé reliait Belsa à la génération précédente de designers rationalistes, véritables pionniers de cette technique de construction. D’autre part, sa manière de travailler la canne de Manille – pure, épurée, avec très peu de ligatures – l’associait aux designers et fabricants contemporains, et plus particulièrement à Expormim et à notre propre manière de comprendre et de travailler le rotin. Par sa maîtrise et sa modernité, Belsa s’impose comme l’un des précurseurs du design contemporain en rotin. C’est pourquoi il était de notre devoir et de notre souhait de lui rendre hommage de la meilleure façon que nous connaissons : en redonnant vie à son Banc 202.
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La valeur de l’artisanat : une passion partagée
Ses origines modestes et sa volonté de créer un mobilier digne de la classe ouvrière définissent l’extraordinaire personnalité de Belsa, à mi-chemin entre rationalisme et tradition. De plus, il s’érigea en véritable défenseur du savoir-faire artisanal. Alors que les artisans encore en activité semblaient figés dans le passé, produisant des pièces démodées et éloignées du goût esthétique de l’époque, Belsa sut sauver et moderniser leurs techniques traditionnelles pour fabriquer des meubles en fibres végétales. Grâce à son sens de la modernité, ces pièces ont survécu à leur époque et à leur auteur, pour devenir des classiques intemporels.
La philosophie et les valeurs de Belsa nous touchent profondément, au point que nous avons ressenti la nécessité de rééditer son célèbre Banc 202. Les créations de Belsa soulignent non seulement la valeur de l’artisanat, mais aussi la responsabilité sociale du mobilier et du design. Bien que ses modèles aient rencontré un grand succès auprès de certains secteurs de la bourgeoisie éduquée, son public cible fut toujours la classe ouvrière. La dimension idéologique, souvent évidente dans l’architecture, tend à s’estomper lorsqu’il s’agit de mobilier, mais ce n’était pas le cas pour les créations de Belsa. C’est pourquoi elles ne devraient jamais être jugées insignifiantes, et son nom ne devrait jamais tomber dans l’oubli.
À travers la réédition du Banc 202, Expormim réécrit, dans le langage du rotin, l’histoire de Joaquim Belsa et de son héritage : une histoire d’artisanat, de rotin et de design méditerranéen. Le type d’histoires que nous ne nous lasserons jamais de raconter.
réédition du banc 202
En 2024, nous avons réédité le Banc 202, un design original de 1961 signé par le designer industriel catalan Joaquim Belsa. Le Banc 202 est le résultat de notre effort constant pour récupérer, protéger et promouvoir notre richesse culturelle. En revisitant des classiques comme ce banc en rotin, nous ne faisons pas seulement ressortir la figure de Joaquim Belsa et lui rendons la reconnaissance qu’il mérite, mais nous réaffirmons également nos racines méditerranéennes, notre histoire et notre longue tradition d’artisanat et de design.
Belsa, maître du rotin courbé
Joaquim Belsa (Barcelone, 1929) a étudié à l’Escola de la Llotja, aujourd’hui École Supérieure d’Art et de Design de Barcelone. Très tôt, il s’intéressa au design et à la production de mobilier. Il débuta sa carrière professionnelle dans l’atelier d’un ébéniste, où il découvrit sa passion pour les matières premières traditionnelles telles que le bois naturel, la canne de Manille et le jonc. Avec ces matériaux, il façonnera ses pièces les plus emblématiques, celles qui attirèrent fortement notre attention.
En 1951, Joaquim fonde l’entreprise Aresta. Son catalogue comprenait des meubles en bois qui reprenaient le flambeau des artistes rationalistes locaux d’avant-guerre. Durant cette période, la production de Belsa reposait sur un concept de design simple : le trait unique. Liée à sa vision du design – fonctionnaliste, avec des caractéristiques méditerranéennes et des références au mobilier populaire – cette idée d’utiliser une seule ligne continue se traduisait aisément dans ses meubles grâce aux matériaux employés, qu’il s’agisse de canne de Manille ou de tube d’acier chromé.
D’une part, l’utilisation du tube de fer courbé reliait Belsa à la génération précédente de designers rationalistes, véritables pionniers de cette technique de construction. D’autre part, sa manière de travailler la canne de Manille – pure, épurée, avec très peu de ligatures – l’associait aux designers et fabricants contemporains, et plus particulièrement à Expormim et à notre propre manière de comprendre et de travailler le rotin. Par sa maîtrise et sa modernité, Belsa s’impose comme l’un des précurseurs du design contemporain en rotin. C’est pourquoi il était de notre devoir et de notre souhait de lui rendre hommage de la meilleure façon que nous connaissons : en redonnant vie à son Banc 202.
original 202 bench detail
En 2024, nous avons réédité le Banc 202, un design original de 1961 signé par le designer industriel catalan Joaquim Belsa. Le Banc 202 est le résultat de notre effort constant pour récupérer, protéger et promouvoir notre richesse culturelle. En revisitant des classiques comme ce banc en rotin, nous ne faisons pas seulement ressortir la figure de Joaquim Belsa et lui rendons la reconnaissance qu’il mérite, mais nous réaffirmons également nos racines méditerranéennes, notre histoire et notre longue tradition d’artisanat et de design.
Belsa, maître du rotin courbé
Joaquim Belsa (Barcelone, 1929) a étudié à l’Escola de la Llotja, aujourd’hui École Supérieure d’Art et de Design de Barcelone. Très tôt, il s’intéressa au design et à la production de mobilier. Il débuta sa carrière professionnelle dans l’atelier d’un ébéniste, où il découvrit sa passion pour les matières premières traditionnelles telles que le bois naturel, la canne de Manille et le jonc. Avec ces matériaux, il façonnera ses pièces les plus emblématiques, celles qui attirèrent fortement notre attention.
En 1951, Joaquim fonde l’entreprise Aresta. Son catalogue comprenait des meubles en bois qui reprenaient le flambeau des artistes rationalistes locaux d’avant-guerre. Durant cette période, la production de Belsa reposait sur un concept de design simple : le trait unique. Liée à sa vision du design – fonctionnaliste, avec des caractéristiques méditerranéennes et des références au mobilier populaire – cette idée d’utiliser une seule ligne continue se traduisait aisément dans ses meubles grâce aux matériaux employés, qu’il s’agisse de canne de Manille ou de tube d’acier chromé.
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La valeur de l’artisanat : une passion partagée
Ses origines modestes et sa volonté de créer un mobilier digne de la classe ouvrière définissent l’extraordinaire personnalité de Belsa, à mi-chemin entre rationalisme et tradition. De plus, il s’érigea en véritable défenseur du savoir-faire artisanal. Alors que les artisans encore en activité semblaient figés dans le passé, produisant des pièces démodées et éloignées du goût esthétique de l’époque, Belsa sut sauver et moderniser leurs techniques traditionnelles pour fabriquer des meubles en fibres végétales. Grâce à son sens de la modernité, ces pièces ont survécu à leur époque et à leur auteur, pour devenir des classiques intemporels.
La philosophie et les valeurs de Belsa nous touchent profondément, au point que nous avons ressenti la nécessité de rééditer son célèbre Banc 202. Les créations de Belsa soulignent non seulement la valeur de l’artisanat, mais aussi la responsabilité sociale du mobilier et du design. Bien que ses modèles aient rencontré un grand succès auprès de certains secteurs de la bourgeoisie éduquée, son public cible fut toujours la classe ouvrière. La dimension idéologique, souvent évidente dans l’architecture, tend à s’estomper lorsqu’il s’agit de mobilier, mais ce n’était pas le cas pour les créations de Belsa. C’est pourquoi elles ne devraient jamais être jugées insignifiantes, et son nom ne devrait jamais tomber dans l’oubli.
